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Eoliennes, antennes-relais, lignes à haute – tension : sale temps pour les animaux !
Beaucoup des animaux de nos campagnes,, de tous poils et de toutes plumes, sont malades. Ils sont atteints d’un mal invisible. Certains font la relation entre la dégradation de leur santé et les sources de pollutions par ondes électromagnétiques installées dans le voisinage. Les éleveurs impactés sont en première ligne. Mais, cela n’impressionne nullement les industriels des ondes qui colonisent toujours plus les campagnes… avec l’appui des politiques et des médias.

Avec le développement exponentiel du « tout électrique » et du « tout sans fil », les ondes électromagnétiques qui nous entourent se révèlent des « liaisons fort dangereuses ». Elles menacent notre santé. La campagne n’est pas une exception ! Elle est jalonnée d’éoliennes, d’antennes relais, de lignes à haute tension, bien souvent implantées trop près des habitations. Cette prolifération des champs électromagnétiques a produit à partir des années 1940 – mais surtout depuis les années 1970 – l’apparition d’un syndrome nouveau : l’électrosensibilité. Il s’accompagne de symptômes divers, le plus souvent handicapants et même, parfois, mortels. L’ANSES, en 2018, a produit une « étude au doigt mouillé », selon laquelle il y aurait en France, 5% de « personnes qui se disent électro sensibles », soit plus de trois millions !
Selon cet organisme d’Etat qui relaie ici les théories de l’INCNIRP (International Commission on Non-Ionizing Radiation) et de la Commission des Ondes de l’OMS, ce syndrome des « personnes qui se disent électro sensibles », n’aurait aucun rapport avec la prolifération des ondes, même si l’Institut Karolinska de Stockholm (Suède) relève que, de 1950 à aujourd’hui, la prolifération des ondes a été multipliée par un trillion de fois (dix-huit zéros après le 1). D’après les éminents scientifiques de la science officielle, ce seraient ces personnes électrosensibles, elles-mêmes, qui s’auto-persuaderaient que leurs symptômes auraient pour origine la nocivité des ondes électromagnétiques. Pour expliquer cette situation embarrassante, sous la houlette de l’ICNIRP (une ONG financée très majoritairement par les industriels et opérateurs des ondes mais qui se présente comme indépendante), cet aréopage de la Science officielle avance une bien curieuse théorie : l’effet Nocebo ! Selon cette hypothèse, l’appréhension de la situation créerait des dysfonctionnements conformes à ceux qu’ils redoutent..
Ainsi,« les personnes qui se disent électro sensibles » développeraient des symptômes provoqués par leurs angoisses et leur imagination, en dépit des conditions objectives de sécurité garantie ! Cette théorie arrive à point nommé pour le lobby des Ondes qui se sent ainsi légitime pour polluer, encore et encore, le Territoire, au nom du Progrès. Naturellement, il n’est pas licite dans le système médiatique ambiant d’émettre des doutes sur le bien-fondé des éléments de langage de cette « Science » au risque de se faire traiter de « complotiste, controversé ou sulfureux » des anathèmes propres à éradiquer tout avis contraire à la doxa du lobby des ondes. Mais, il y a quand même un point litigieux qui interroge : c’est celui qui concerne les animaux ! Comment, les vaches, lapins, poulets, abeilles, qui n’ont, ni la télévision, ni Internet, font-ils pour être victimes de l’effet Nocebo, tomber malades et le plus souvent décéder en l’espace de quelques mois dès qu’une antenne-relais ou une éolienne est érigée dans le coin ? Cela reste très mystérieux ? Serait-ce un problème de télépathie avec leurs éleveurs, eux mêmes impactés ?
Il serait temps que tous ces scientifiques de la science officielle se penchent sur la question pour éclairer notre lanterne.
Parmi des milliers d’exemples, concernant les seuls bovins, on peut citer le cas de Nozay, en Loire-Atlantique où après des années de procédure et la mort suspecte de 450 bêtes, en 2023, l’éleveur est contraint de cesser son activité. Au chapitre des antennes relais, ce n’est guère plus brillant ! A peu près à la même période, l’un de ses collègues de Mazeyrat-d’Allier en Haute-Loire met la clef sous la porte, après avoir perdu la plus grande part de son troupeau. Ces faits – et beaucoup d’autres – ont poussé les éleveurs de l’association ANAST (ANimaux Sous Tension) à se regrouper. Ils estiment que les ondes électromagnétiques et électriques sont responsables des difficultés de leur cheptel. Selon ces éleveurs en colère, « la pollution invisible » issue de la multiplication des antennes-relais des éoliennes et des lignes à haute tension aurait des conséquences très graves sur les animaux. Insensibles aux sirènes de la « Science officielle », leur « bon sens paysan » pour boussole, leur indique un vrai problème pour la santé de leurs animaux, créé par la pollution des sources d’ondes électromagnétiques.
Je suis né dans un petit village, désormais cerné – comme ses voisins – par les champs éoliens.
Je m’y rends encore très souvent. Il s’y passe beaucoup de choses fâcheuses qui dépassent le sujet du jour. Même, si j’ai bien capté que, s’il faut produire toujours plus d’électricité, il y a un problème, je ne suis pas très bien orienté envers les éoliennes… comme la très grande majorité des habitants du secteur. Qu’elles fassent du bruit et défigurent le paysage, ce n’est qu’un détail. Le fait que toute vie animale (lapins, oiseaux, insectes) disparaisse dans un rayon de 2 00 mètres autour d’un mât éolien est plus embêtant.
Surtout, je suis inquiet pour ma propre santé en écoutant le récit d’évènements fâcheux survenus aux alentours. Sur mon trajet entre le village et le bourg voisin où se trouvent les commerces, un chantier récent a retenu mon attention. Il concerne une vaste parcelle herbeuse coincée entre un bois, une ligne à haute tension et un champ éolien. Elle était vide depuis bien des années. Il y a encore peu, dans les villages, on trouvait nombre d’exploitations pratiquant la polyculture et l’élevage des bovins. Les près aux alentours étaient très nombreux et leur herbe servait de nourriture aux vaches laitières pendant la saison d’été.
Depuis quelques années, rien ne va plus dans les campagnes.
Les industries laitières payaient le lait bien en dessous de son prix de revient. Seuls les gros élevages assistés par informatique et nourrissant les animaux avec des tourteaux survitaminés ont tiré leur épingle du jeu. Et, encore ! Les petites fermes et leurs troupeaux ont disparu. La vache qui mange de l’herbe dans un pré, c’est juste une image pour la publicité du beurre Président. Dans la vraie vie, cela n’existe plus depuis longtemps. Il reste encore beaucoup de ces terrains herbeux, sans utilité, autour des villages. Ainsi, lorsqu’un éleveur investit dans une clôture nouvelle autour d’une de ces anciennes pâtures, cela devient un évènement. Il s’agit d’un travail soigné, en bois, a la manière des corrals américains. Lorsque les animaux sont arrivés, c’était très surprenant. Il s’agissait de magnifiques chevaux de race ! Il doit en exister un éleveur, dans le coin ! Vu la qualité des bêtes, il y en a pour beaucoup d’argent. Les parquer entre une ligne à haute tension et un champ éolien, est-ce bien raisonnable ? Il est visible que l’éleveur n’a jamais entendu parler de l’ANAST.
Je ne voudrais pas porter malchance à ces splendides animaux, mais je tremble pour leur santé dans les prochains mois. La désinformation conduit à des situations où même les personnes les mieux intentionnées risquent de faire de grosses bêtises.

Article voisin :
http://blog.prophoto.fr/eoliennes-esoterisme-et-enfumage-sont-les-trois-mamelles-du-progres/







