Views: 53
Les produits Apple et leur géolocalisation non-stop font les choux gras de la presse.
La presse locale se fait l’écho de deux affaires voisines qui ont connu le même dénouement heureux. Elle titre : « Un téléphone et une montre volés retrouvés grâce à la géolocalisation ». Quels enseignements peut-on en tirer ?
De quoi s’agit-il ?
Deux suspects ont été interpellés à Lille, en pleine période de réveillon, pour le vol d’un téléphone et d’une montre connectée Apple.
Dans les deux cas, le larcin a été accompagné de violences.
Grâce aux codes de géolocalisation des deux produits Apple, les policiers les ont « logés » facilement, l’un dans un hôtel et l’autre dans une maison particulière Ils y ont trouvé les malfaiteurs idoines en possession des objets du litige. Naturellement, ces derniers prétendent, pour l’un, avoir trouvé l’objet par terre tandis que selon l’autre, c’est un « ami » qui lui aurait confié l’appareil. Pas sûr que ces explications cousues de fil blanc puissent convaincre un juge même si, au regard du surpeuplement carcéral, la sanction a toutes les chances d’être légère. Cette affaire fait suite à une autre du même type où un voleur avait été interpellé grâce à la géolocalisation le la paire d’Airpods qu’il venait de dérober.
Les policiers lillois sont au top pour pourchasser les amateurs délictueux de la « marque à la Pomme ».
Aussitôt volé, aussitôt pris ! Au jeu du gendarme et du voleur, grâce à la technologie, c’est toujours le gendarme qui gagne. Il faut dire que nos malfrats ne sont pas les couteaux les plus aiguisés du tiroir et qu’ils sont étrangers aux progrès du monde moderne. Les propriétaires de ces objets connectés peuvent dormir sur leurs deux oreilles ! Enfin, presque ! car ouverts ou fermés ils continuent d’émettre des ondes qui permettent leur géolocalisation. Cela ne se révèle pas sans danger !
Beaucoup de scientifiques indépendants soupçonnent ces objets connectés de provoquer des pathologies liées à l’exposition aux ondes électromagnétiques… comme des syndromes de type Alzheimer. Les médecins et les neuropsychiatres confrontés au problème interdisent aux ados la pratique du « Smartphone sous l’oreiller » et recommandent même de réduire drastiquement l’exposition aux ondes et aux écrans.
Mais, un problème se pose : même en « mode avion » ou appareil éteint, la géolocalisation continue à polluer l’utilisateur. A part se passer de montre connectée, de Smartphone ou d’Airpods – ce qui est une solution très cruelle – il faut pouvoir mettre en place des stratégies de contournement. Nous vous conseillons l’usage de mallettes de type Faraday en métal ou fibre de carbone (de 15 à 35 euros) ou a défaut une bonne vieille boite à outils métallique.
Beaucoup pensent que lorsqu’il y aura plus de 40% de la population qui sera devenue électrosensible, une prise de conscience aura lieu et qu’elle conduira à des mesures de protection. Rien n’est moins sûr ! L’avenir est peut-être dans les appartements blindés et les baldaquins métalliques reliés à la terre pour protéger les occupants des logements pendant leur sommeil. Pour sortir et se rendre au travail, afin de se préserver des antennes-relais, de l’électrosmog et de la voiture électrique, les terriens de 2050 pourront enfiler des vêtements et des voilettes anti ondes… ce qui les fera ressembler à des apiculteurs !
Une histoire d’AirPods :
http://blog.prophoto.fr/les-airpods-polluent-votre-environnement-
Travaux pratiques :