
Portraits croisés, Le Château-Blanc, Mons-en-Barœul (59370)
En franchissant le Pont du Lion d'Or et en arrivant sur le territoire de Mons en Baroeul, jusque dans les années 1950, on découvrait le Château-Blanc. Le paysage a beaucoup évolué.
Les rencontres d'Alain Cadet journaliste de presse locale autour de Lille
Les rencontres d'Alain Cadet journaliste de presse locale autour de Lille
En franchissant le Pont du Lion d'Or et en arrivant sur le territoire de Mons en Baroeul, jusque dans les années 1950, on découvrait le Château-Blanc. Le paysage a beaucoup évolué.
Cette rue, Marcel Pinchon, fait partie du programme des Sarts, le premier élément de la Ville nouvelle, bâti dans la décennie 1950. Depuis cette époque, l’endroit n’a guère évolué…
Le fort Macdonald est l’un des plus beaux éléments de l’architecte militaire de la fin du XIXe siècle qui nous soit parvenu. Dans les années 1880, il faisait partie de la ceinture de défense de la place forte de Lille, en première ligne en cas d’invasion de la Prusse et de ses alliés.
Dans les années 1870, le fort de Mons-en-Barœul va être un investissement considérable pour le dispositif fortifié de la Place de Lille. Il avait un rôle particulièrement important pour barrer la route de l’Est.
Dans le cadre de cette étude sur le fort Macdonald et le dispositif « Séré de Rivières », la manière dont l’Allemagne va prendre possession du secret de la fabrication de la nouvelle Poudre sans fumée, qui lui faisait défaut est très instructive.
Le fort de Mons-en-Barœul, sentinelle face aux routes d’invasion, en première ligne pour la défense du « Camp retranché de Lille », ne remplira jamais le rôle pour lequel il a été construit. Il aura d’autres fonctions, militaires… puis civiles.